Chez Devan Vachonwood et Charlize Eliwey

La troisième journée s’entamait. Charlize venait de faire sa deuxième nuit dans cet appartement dont elle ne s’était toujours pas habituée. Elle se sentait dépaysée dans ce nouvel endroit et sa solitude n’arrangeait guère les choses. La hâte qu’elle ressentait à l’idée que son amoureux viendrait la rejoindre était incroyable mais elle était craintive à la fois. Elle espérait que Devan n’ait pas bu pour conduire jusqu’à New-Anza et elle tenait à ce qu’il ne tarde pas et qu’il ne se perde pas bien qu’elle serait prête à attendre pour lui. Ce qu’elle redoutait, c’était la discussion qu’ils pourraient avoir une fois le jeune homme arrivé. S’il avait bu, il était prévisible que Charlize en montrerait son désaccord. Elle ne voulait pas qu’il lui arrive quelque chose ou elle ne se le pardonnerait jamais bien qu’elle n’en serait pas responsable. Elle n’aurait pas pu s’inclure dans cette mort en se disant qu’elle ne l’avait pas assez poussée à arrêter de boire. Revenons à nous mouton… Si elle lui disait son mécontentement, Mister Vachonwood risquait de lever le ton et ce n’était vraiment pas ce qu’elle souhaitait. Tant pis elle se tairait ou resterait des plus douces possible.

Se levant à peine, Charlize faisait peur à voir. Les cheveux en l’air, elle avait des plis un peu partout sur le corps en raison de la position dans laquelle elle avait pu dormir pour le peu qu’elle avait dormit sois disant-en passant. Se relevant, Charlize fouilla les armoires pour trouver quelque chose à manger. Rien… elle n’avait pas achetée grand-chose puisqu’elle mangeait comme une souris et qu’elle était seule pour deux jours. Attrapant un muffin, la seule chose appétissante pour le petit déjeuner, elle commença à le manger. Dans l’appartement, des boîtes étaient tassées contre le mûr le temps d’être ouvertes. Elle, elle avait déjà sortit ses choses pour ranger un peu et tout cela était les autres bric-à-brac ou les trucs que Devan lui avait laissé emporter.

Se relevant, elle traîna les pieds jusqu’à la salle de bain pour se doucher. Sortant de la douche, elle enfila un jean propre avec un haut noir. Étalant maintenant quelques goûtes de parfum à la vanille, il ne lui restait que la tête. Elle remonta alors ses cheveux en une simple queue de cheval puis elle sortie son sac de cosmétiques. Elle charbonna légèrement ses yeux d’un crayon noir et d’un mascara. La voila parfaite. Elle sortie alors une petite chaînette – sûrement une des seules vu ses grands moyens – qu’elle accrocha doucement dans son coup. Perfecto! Maintenant, Charlou n’avait rien à faire excepté attendre Devan. Espérons seulement qu’il n’arrive pas trop tard. De toute façon, il avait sa clef alors il pourrait entrer si elle n’était pas là. Allongée in extenso sur le canapé, Liz’ s’endormit.

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Devan Vachonwood

Devan s'était levé tôt ce matin-là, sur le canapé sur lequel il dormait chez sa tante. Il se releva, il avait la tête un peu lourde, il avait fêté fort la veille. Il se leva, et eut un sourire en pensant que dans quelques heures, il habiterait chez Charlize. Il mit toutes ses affaires, soit très peu, dans son sac à dos, et sauta dans la douche. Une fois sortit, il alla enfilé en jeans et un t-shirt, bien simple, puis après avoir dit au revoir à sa tante, il a des manières tout de même, il avait mit ses affaires dans son auto, petit cadeau da sa chère tante, et prit la route pour aller rejoindre sa douce.

Il décida de ne pas boire ce jour-là, il avait envie de passer un bon moment avec Charlize, et il n'était pas assez idiot pour boire avant de conduire. Finalement, après un long voyage, il arriva au Boulevard James Cook. Il sourit et se gara, puis prit son sac, et s'avança jusqu'à son nouveau chez lui. Il leva les yeux, et remarqua de la lumière à la fenêtre de Charlize. Il sourit, et sonna, attendant qu'elle vienne lui ouvrir.

Toujours en train de voyager dans ses songes, Charlize était certaine que son amoureux allait ouvrir la porte avec sa clef ce qui ne fu pas le cas finalement. C'est le bruit de la sonette retentissant dans l'appartement qui la réveilla. Ouvrait à moitié les yeux, elle s'étira in extenso avant de se relever paresseusement. Elle aurait largement préférée se faire réveiller par Devan mais en le voyant une fois les yeux ouverts mais peut importe maintenant il était là et c'était le principal! À moins que ce ne soit pas lui et que ça ne soit de simples vendeurs... Mais finalement c'était bien lui ouff.

Replaçant ses vêtements et refaisant sa queue de cheval, elle marcha entre les meubles et les boîtes jusqu'à la porte pour lui y ouvrir. Souriant jusqu'aux oreilles, Charlize allongea ses bras devant elle pour les enlacer autour du torse de Devan. Elle cacha son visage dans le creu de son cou contente de ne pas y percevoir l'odeur de l'alcool. Le serrant contre elle, bougea un peu comme si elle le berçait. Elle se recula ensuite pour le regarder de ses yeux éclatants puis elle l'embrassa tendrement.

«Tu m'as manquée. Dormir seule dans une nouvelle place ce n'est pas très évident.»

La jeune femme se recula ensuite en le tirant par le poignet impatiente de lui faire découvrir leur nouvel appartement. Enfin il allait avoir son lieu à lui et à la fois à elle pas comme s'il habitait encore chez sa tante à 27 ans. Maintenant, elle avait hâte de le présenter à Timéo et à Wayne bien qu'elle doutait qu'ils ne l'apprécient pas nécéssairement. Ça ne faisait pas longtemps qu'ils étaient ensembles et son frère était parfois surprotecteur. Lui faisant visiter l'appartement, elle se tourna ensuite vers lui pour connaître son opinion.

«Puis?»

Devan attendait devant la porte avec un sourire. Il avait hâte de voir sa Charlize. Il entendit le cliqueti de la serrure, et quelques instans plus tard, la porte s'ouvrait sur Charlize, magnifiquement vêtue et maquillée. Devan s'approcha d'elle doucement, et après avoir déposé son sac sur le bas de la porte, la serra dans ses bras. Il la berça doucement, et c'est alors qu'il se rappella qu'il aurait pu utiliser sa clé. Il haussa les épaules, et caressa doucement ses cheveux, respirant sa délicieuse odeur de vanille.

Il lui sourit, et l'embrassa doucement, puis prit sa main pour pénétrer dans l'appartement. Il visita le tout avec elle, un sourire accroché aux lèvres. Il avait l'impression d'enfin arriver au bout du chemin. Il avait son propre appartement, la copine la plus merveilleuse sur Terre, et un boulot. Il sourit à Charlize et la regarda.

-C'est bien, j'aime beaucoup!

Il remit une mèche qui s'était échappé de sa queue de cheval derrière son oreille, et la regarda tendrement. Puis, il alla à la porte chercher son sac et alla le porter à la chambre. Puis, il alla au frigo dans l'espoir de se trouver quelque chose, mais le frigo était vide.

-Mmm, il va falloir faire des courses...

Son ton était froid et dur, mais quand il se retourna vers Charlize, il lui souriait doucement.

Oui il allait falloir faire les courses. Disons que Charlize était loin d'être la femme la plus riche du monde ce qui lui laissait donc un montant assez restreint pour faire les courses. Elle avait également des factures à payer mais avec le boulot de Devan et le sien ensemble, ils allaient pouvoir y arriver elle en était convaincu. En entendant son ton dûr et froid, Charlize se sentit un tantinet mal à l'aise. Elle mangeait comme un oiseau il le savait mais lui il avait une appêtit beaucoup plus grande que la sienne et de ne pas avoir fait les courses... ce n'était pas très intelligent de sa pars.

«Je sais...»

Dit-elle en souriant légèrement en baissant un peu les yeux comme si elle était coupable de quelque chose. Relevant la tête, elle aperçu le sourire doux qu'il lui faisait. Elle se sentit mieux. Disons que depuis l'épisode violent quand il avait fahit lever sa main sur elle, elle se sentait plus craintive et avait peur pour un rien. Cependant en entendant son opinion sur l'appartement, elle sourit.

«Super alors je suis contente que ça te plaise.»

Marchant vers la cuisine, elle fouilla dans la porte d'armoire et trouva des pâtes. Facile et rapide à faire alors elle pourrait lui en faire pour subvenir à ses besoins estomacals. Se tournant vers lui, elle arqua un sourcil en lui montrant le sachet.

«T'en veux?»

Devan se rendit alors compte du ton froid qu'il avait utilisé pour lui faire remarquer qu'il faudrait faire les courses, mais il ne s'en excusa pas. Après tout, lorsqu'on s'installe en appartement, il est important d'acheter de quoi se nourrir. Il regretta un peu cependant lorsqu'il vit Charlize baisser la tête, mais le sourire qu'il avait aux lèvres semblaient lui redonner confiance.

Il lui sourit doucement et s'approcha d'elle pour lui prendre doucement ses mains. Il remarqua alors qu'elle semblait pensive. Il ne comprenait pas vraiment à quoi elle pouvait penser mais alors qu'il était entrain de penser à ce qu'il avait pu mal faire ou dire, elle lui sourit de nouveau et lui avoua qu'elle était contente qu'il aime l'appartement. En fait, il L,adorait mais il ne voulait pas montrer trop d'intéret, peut-être pour garder son petit côté dur et mystérieux.

-Ouais... on va être bien ici...ensemble!

Il alla ensuite la rejoindre à la cuisine, et elle lui montra une boîte de pâtes. Il hocha la tête sans un sourire, mais alors qu'elle commençait à les cuisinier, il arriva par l'arrière, la prit délicatement par les hanches, et l'embrassa doucement sur la joue.

-Je vais aller défaire mon sac, je reviens...

Charlize s’avouait à elle-même que de ne pas avoir achetée de quoi manger pour le retour de son amoureux était vraiment quelque chose de stupide mais allait-il la gronder pour si peut? Allait-elle se faire des peurs pour si peut? Elle tentait de ne pas montrer qu’elle semblait si faible, si délicate ou si inférieur à lui. Il était bien plus massif qu’elle et il était plus autoritaire si on pouvait dire ça comme ça… Elle avait peur quand il était mécontent même pour un rien. C’était comme ça et elle ne pouvait rien y faire. Il avait fahit lever la main sur elle alors je ne vous laisse pas imaginer comment elle serait si ça aurait été le cas.

Lizzy le regarda s’approcher d’elle sans rien faire. Ne vous inquiétez pas elle n’avait pas une de ses expressions de peur dans le visage. Non maintenant elle était confiante. Elle sourit en sentant les mains satinées de Devan saisir les siennes. Ensembles, ils allaient être biens. En effet ils allaient enfin avoir un peu plus d’intimité pas comme quand Devan habitait chez sa tante.

«Oui on a enfin notre petit chez-nous. Et il n’y a plus de tante ici… pour… nous surprendre.»

Dit-elle d’un ton remplit de malice. Bon je vous rassure, sa tante ne les a pas surpris mais elle ne disait que cela pour le taquiner un peu! Elle adorait lui faire des blagues c’était connu! Lorsque Devan hocha la tête, elle remplit une casserole d’eau qu’elle mis sur le feu pour que ça bouille. Se faisant prendre par la taille, la jeune femme sourit et le fit d’avantage en sentant les lèvres du jeune homme se poser sur sa joue. Ensuite, elle y mise les pâtes et commença à brasser avec une grande cuillère tout en attendant que Devan revienne de la chambre vu qu’il était partit défaire son sac.

«Le lit est confortable mais je peux te dire que sans toi j’ai mal dormis. Je n’ai plus l’habitude de dormir seul dans un lieu nouveau je dois l’avouer.»

Devan ne se souciait plus de l'histoire des courses, il était passé à autre chose. Il se rappelait lui aussi la fois où il avait presque levé la main sur Lizzy, mais ne s'en reprochait pas. Il était sortit avec des amis ce soir-là, et il y avait eu des concours de buveur, et Devan avait gagné. Il était donc complétement saoûl lorsqu'il rentra retrouver Charlize. Il s'était installé devant la TV, et avait demandé à sa douce de lui apporter une bière, mais elle lui avait doucement fait remarquer qu'il avait déjà assez but. Devan entra alors dans une colère noire, de quel droit se permettait-elle de décider pour lui si il avait assez but ou non? Il s'était approché d'elle menaçant, et lui avait demandé une nouvelle fois d'aller chercher une bière. Elle avait baissé la tête, mais ce n'était pas bougée. Il avait donc levé la main pour la claquer en plein visage, mais c'était ravisé, avait grogné, craché par terre, et il était partit dans la cuisine en claquant la porte du salon. Mais il ne regrettait pas du tout ce soir-là. Elle l'avait énervé, et s'était prise pour sa mère, et lui avait donné des conseils. De plus, il ne l'avait même pas touché, alors, il n'avait absolument rien à se reprocher.

Devan regardait Charlize avec un petit sourire, tenant ses mains, et eut un de ses petits rires, un peu froids, lorsqu'elle parla de sa tante qui aurait pû les surprendre. Ça ne s'était jamais produit, mais maintenant, il n'aurait plus vraiment à se soucier d'un témoin surprise. Et puis, c'était tellement plus agréable d'habiter en appartement avec sa blonde que de vivre chez sa tante... Devan lâcha doucement ses mains alors qu'elle allait chercher les pâtes. Après l'avoir rejoint et déposé doucement un baiser sur sa joue, il était partit de la cuisine et s'était dirigé dans la chambre.

Les murs étaient blanc crème, et il y avait quelques meubles, un grand lit et des commodes. Devan prit son sac avec un petit sourire, et entreprit à ranger ses quelques vêtements. Il sortit alors de son sac à dos un cadre, avec une photo de Charlize et lui, s'embrassant doucement. Il eut un petit sourire froid, et déposa la cadre sur la table de chevet. Finalement après avoir rangé ses articles de toilettes dans la salle de bains, il revint à la cuisine, et s'assit sur une des chaises, regardant Charlize faire cuire les pâtes. Il eut un sourire, un vrai, sincère, lorsqu'elle lui dit qu'elle avait mal dormi sans lui, mais que le lit était confortable. Il la regarda et haussa les épaules.

-Alors ce soir, tu comptes dormir, ou...?

Il lui fit un petit clin d'oeil, et se leva afin de mettre sur la table deux napperons, des napkins et des couverts. Une fois le sel, le poivre et le fromage mit sur la table, il revint s'asseoir sur une des chaises en bois de la cuisine, regardant Charlize.

Charlize essayait du mieux qu’elle pouvait de ne pas se rappeler la fois où il avait presque levé la main sur elle. Il ne l’avait pas fait et c’était l’essentiel non? Elle, elle ne l’oublierait jamais ça c’était sur. Bon Devan non plus mais quand même lui il ne devait pas en avoir honte ou plutôt le regretter. Charlize était fière qu’il ne l’ait pas touché car elle avait eut une de ses peurs et dieu sait ce qu’elle ferait si jamais il lèverait la main sur elle. Oui elle avait deux frères qu’elle pouvait aller voir pour de l’aide mais elle ne tenait pas à les mettre dans une histoire dans laquelle ils n’ont rien à faire. C’est son couple et pas celui de ses frères.

Une fois que Devan fut totalement dans sa chambre, elle pu se concentrer entièrement à sa cuisine. Disons qu’il attirait facilement son œil et si elle ne voulait pas brûler le repas, elle devrait cesser de le chercher des yeux. En entendant sa phrase, elle ne le regarda pas. Un petit sourire amusé s’afficha sur ses lèvres et elle ne répondit pas immédiatement. Elle aimait bien faire durer le silence pour le faire attendre. De toute façon elle ne savait pas vraiment quoi répondre. Elle avait son idée sur sa réponse mais elle aimait toujours tout calculer avant de parler.

«Je compte dormir évidemment mais rien ne confirme l’heure à laquelle je dormirai.»

Une fois le tout près, elle prit les assiettes et y mis les pâtes et tout le tralala. Elle apporta les plats à la table puis passa derrière Devan pour gagner sa chaise. Se penchant vers lui, elle l’embrassa tendrement dans le cou en souriant avant d’aller vers sa chaise. Se laissant tomber délicatement sur celle-ci, elle prit le parmesan pour en mettre sur sa nourriture puis attrapa sa fourchette. Regardant son amoureux, elle lui murmura un petit; «Bon Appêtit» avant de commencer à manger.

[Nulleuh, nulleuh et nulleuh! Je me remet dedans je vais faire meilleur!]

Devan savait que si il levait la main sur Charlize, elle ne lui pardonnerait pas, mais lorsqu'il était saoûl, il ne se contrôlait pas réellement. Mais jamais, il aurait voulu lui faire du mal intentionnellement. Il l'aimait beaucoup trop pour cela, elle était le petit soleil de sa vie, et il ne pourrait pas se passer d'elle, mais d'un autre côté, il serait incapable d'arrêter ses soirées entre copains, ou arrêter de boire. Il est rendu tellement habitué à sa petite bière quotidienne, ne pas la prendre serait un peu comme ne pas avoir sa dose de nicotine pour un toxicomane, il ne serait pas bien, et encore plus de mauvais poil. De toute façon, il n'avait jamais chercher à changer Charlize [Pas qu'elle ait quelque chose à changer non plus...] alors il ne comprendrait pas qu'ellr ne le respecte pas de la même manière. Après tout, il l'aimait pour ce qu'elle était, qualités comme défaults, et il espèrait que ce soit réciproque du côté de sa douce.

Lorsqu'il lui demanda si elle comptait dormir ce soir-là, elle fit durer le silence, ce qui fit sourire Devan. On aurait pu croire que cela aurait eu tendance à l'énerver, mais au contraire, il adorait quand Charlize faisait sa petite coquine comme ça. «Je compte dormir évidemment mais rien ne confirme l’heure à laquelle je dormirai.» Devan sourit de nouveau, cette réponse lui convenait entièrement. Il embrassa doucement Charlize sur la joue, avant de l'aider à déposer les assiettes sur la table. Elle passa ensuite derrière lui, et l'embrassa dans le cou. Devan sourit, et se retourna pour lui donner un petit bec du bout des lèvres sur celle de Charlize, avant de prendre place en face d'elle pour savourer le dîner. Il attrapa le parmesan après qu'elle l'ait utilisé, et en mit sur ses pâtes, avant de prendre à son tour sa fourchette. Il sourit lorsqu'elle lui murmura bonne appétit, et lui répondit doucement, comme radoucit.

-Toi aussi, ma chérie...

Il lui fit un clin d'oeil, et commença à manger ses pâtes. Bien que simple, le repas s'avera délicieux. Devan était content d'avoir enfin trouver un chez lui, et même si il savait que ça ne serait pas toujours la joie, il se réjouissait d'avance de tout le temps qu'il pourrait passer en compagnie de Charlize, à profiter de ses baisers. Il leva les pouces pour lui montrer son appréciation du repas, et recommença en manger en silence, mais en lui jetant parfois des regards amoureux par biais, entre deux bouchées.

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