Pandora Maletesta Tween

Nom :

Maletesta Tween

Prénom :

Pandora

Age :

24 ans

Description physique :

Brune aux yeux marrons, c'est ce qu'une personne dirait sûrement d'elle en la croisant simplement dans la rue. Oui, ses yeux c'est peut-être ce qui attire l'attention en premier lieu : en amandes souvent peinturlurés de Khôl, avec des cils joliement courbés et d'un noir intense. Puis instentanément le regard s'abaisse ensuite sur ses lèvres. Des lèvres charnées qui appelent tendrement au baiser et qui, le plus souvent, s'étirent en un large sourire avenant. Une expression ouverte, souvent rêveuse et un nez fin et droit presque en trompette.
Pour ce qui est de sa corpulance, Pandora n'a jamais été ronde, pourtant Dieu sait combien elle est gouramande ! Fine avec de belles rondeures bien placées : une poitrine raisonable, des hanches tout aussi rasonnables le tout posé sur de fines et longues jambes au mollets et aux cuisses galbées.
Pour ce qui est du choix vestimentaire, elle arbore le plus souvent robe de soie ou de coton d'une couleur sinistre : rose pâle, bordeau, violet couleur du vin, ou bleu nuit, ceintrée d'un corset noir en laçet, elle affectionne tout autant la simplicité d'une robe blanche fantomatique, et peut aussi bien porter jeans moulants ou pantalons de cuir évasés. Bref, elle peut tout mettre tant que cela reflète sa personnalité.
Pour les chaussures : Dock Martins ou sandales et pour les grandes occasions, elle laçe des cuissières de cuir noir jusqu'au haut des genoux, sa jambe ainsi valorisée par un talon de 8 cm tout au plus.

Description caractérielle :

Il n'est pas tâche facile de la définir, toute personne est si comlexe qu'il est impossible d'en connaître la véritable nature, je veux dire, dans son intégrité. Mais si un de ses amis devait la décrire, il dirait qu'elle sait ce qu'est le sourire, plutôt bon publique, la meilleure façon de sympatiser avec elle serait sans doute de toucher son esprit comique. Mais paradoxalement, elle n'est pas toujours aussi émanante de bonheur. C'est ce qui arrive parfois, cet inexpliquable et profond sentiment de mélancolie, passager, certes, mais indubitablement sien. Il lui est parfois arrivé de ne pas vouloir sortir de chez elle ne serait-ce que pour aller faire des courses, et ce tout simplement parce qu'elle n'en avait pas le coeur, acceptant tout juste la compagnie de ses amis. Puis son mal passe, tout aussi brusquement qu'il est apparu, et elle oubli. Elle se hait ses moments-ci, où elle se pose à son balcon, consommant clopes après clopes et pleurant sans raisons apparentes. Mais il suffit qu'une personne entre dans sa vie comme un baume à son coeur pour oublier tout ça, Pandora croit en l'amour et en ses vertues presque magiques. Cela est sûrement du à son caractère rêveur, chose qu'on lui reprrochait souvent au lycée, pour sa manie de voir souvent le bon là où il n'y'en avait visiblement pas. Le plus souvent elle avait raison et redonnait l'espoir en des gens qui ne croyaient plus qu'on puisse leur apporter un quelqoncque soutient, elle attache une très grande importance à l'amitié et s'époumone souvent à dire que sans eux, elle ne serait jamais arrivé à réaliser son rêve : quitter son foyer et vivre de ses propres ailes.

Passions et loisirs :

Pandora est une cinéphyle née ! Au moins trois films par semaines et une centaines de DVD dans son placcard avec Home cinéma, bien entendu ! Sans cela les sorties entre ami(e)s restent de ses loisirs préférés même s'il a fallu pour cela qu'elle frode les règle paternelles.

Métier :

Gérante du Cinéma "Le Boomerang".

Habitation :

Appartements sur Sydney Avenue.

Histoire :

Née en Nouvelle Orléans, Pandora appris dès son plus jeune âge à parler français et américain. "Pandora" c'est sa mère qui voulait l'appeler ainsi, un caprice de jeune adolescante puisque sa mère, Laure Maletesta, n'était âgée que de 18 ans lorsqu'elle mit au monde, avec l'homme qu'elle croyait aimer, ce petit bout de trois kilos à peine.
Le rôle de mère la lassa très rapidement et la jeune enfant se vit délaissée par sa mère trois ans plus tard. Elle avait simplement laissé un mot sur la table disant : "ma vie ne s'arrêtera pas là". Une lourde responsabilité pour son père, Stan Tween, qui était débordé de travil sur les plateaux de tournage. Il était en effet acteur, et c'est sur un plateau même qu'il était tombé amoureux de Laure. Le pauvre ne savait pas dans quoi il s'était engagé. Lui qui avait horreur des enfants s'était surpris a accepté de garder "le foetus" qui s'était installé dans le ventre de Laure lorsqu'elle lui avait avoué qu'elle était en ceinte... de lui ? A présent il n'en était plus certain : Laure était aussi vagabonde qu'une nomade, en effet, sa vie ne pouvait s'arrêter là... pour le plus grand malheur de Stan qui eut tout les maux du monde à être un bon père. Jamais présent, pourtant intransigeant quant à ce qu'elle reste à la maison, comme pour garder à jamais le souvenir d'une femme qu'il avait aimé à contre sens. Elle ne vécu donc pas une enfance heureuse, enviant à tout bout de champs ses amies à qui les parents venaient à chaques spectacles de fins d'années, ou même au rendez-vous de parents d'élève. Mais jamais à cette époque elle ne se serait doutée que les années qui suivraient seraient bien pire encore. Le premier petit ami qu'elle amena à la maison fut un désastre, son père le vira par coups de pieds au derrière, hurlant comme un fou. Elle en fut rudement choquée, et n'avait alors que seize ans...
Elle commença seulement à comprendre que sortir de chez elle serait difficile, que s'échapper du cocon paternel le serait encore plus. Elle devait cacher ses liaisons, rentrer tôt le soir et ne jamais sortir dépassé une certaine heure. Passé son bac, elle voyait très mal sa vie, et commença des études en art audiovisuel. La seule passion que lui avait transmis son père. Elle obtint son diplôme avec mention. Redoutant plus que jamais de devoir quitter le foyer parental, elle avait alors vingt trois ans. Elle tenta de faire comprendre à son père qu'il était tant qu'elle vole de ses propres ailes, celui-ci entra dans une colère terrible, jetant par tout bord tout objets qui se trouvaient sur son chemin. Pandora s'enferma à double tour dans sa chambre tandis que Stan déversait ses injures et ses menaces. Ce fut lui, qui dans un excès de folie furieuse l'empêcha de jour comme de nuit de sortir. Surveillant dans la maison le moindre de ses déplacements, stoïque comme un arbre même lorsque Pandora fondait en larmes et en suppliques, s'ageunouillant devant lui comme pour prouver qu'elle resterait à jamais sa soumise de fille...
Ses amis se démenèrent pour la faire sortir de là. Un soir qu'elle dormait dans sa chambre, il frappèrent à sa fenêtre, échelle soigneusement placée sous celle-ci, et la sortirent de sa torpeure. Ils étaient tous là, ses amis et amies et ils avaient tout prévu : la seule façon de sauver Pandora c'était de l'emmener loin du pays. Ils avaient choisit New-Anza, autrement dit l'Australie. Ce fut un adieu déchirant, empli de larmes et de remerciments. Tous s'étaient cotisés pour pouvoir lui payer son billet d'avion et de quoi vivre pendant deux mois, le temps qu'elle trouve un travail, qui, avaient-ils précisés, lui plairait. C'est ainsi qu'elle atterrit à New-Anza, guère chargée : seulement un bagage remplit en vitesse et dans la crainte de se faire surprendre. Bien déterminée à saisir ce nouveau départ que lui avaient apporté non sans risques ses amis.

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Kate Beckinsale